AUCUN DROIT DE RECOURS DES COMMERÇANTS-ARTISANS CONTRE LES PERMIS DE CONSTRUIRE IRRÉGULIERS
AUCUNE RÉPONSE DU MINISTRE CHRISTOPHE BÉCHU
DEPUIS LE 20 FÉVRIER 2023, cliquez ici
Avec la complicité des gouvernements, des législateurs et de l’administration, qui n’ont jamais accordé un droit de recours effectif aux Commerçants-Artisans contre les excès de pouvoir élus locaux qui accordent des permis de construire illégaux sans respecter les règles de droit, la Liberté d’entreprendre s’exerce dans le cadre d’une concurrence claire et loyale et d’exploiter des surfaces de vente :
1) sans être titulaire d’un permis de construire régulier.
2) sans être titulaire d’une autorisation d’exploitation commerciale avant la construction.
3) ou réutiliser un bâtiment existant construit irrégulièrement (sans CDAC).
4) en méconnaissance des autorisations accordées (dépassement surfaces illicites).
5) en méconnaissance du respect des règles locales d’urbanisme (violation PLU et PPRi).
6) s’enrichir de manière illégale au mépris des concurrents (distorsion de la concurrence).
RAPPEL DE LA RÉGLEMENTATION
1) obligation de respecter la règle du droit des sols article L 421-6 du Code de l’Urbanisme
2) FAVORITISME – EXCES DE POUVOIR : article 432-11 du Code Pénal

Nos interventions auprès de :
Christophe BECHU, Ministre du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire
C BECHU Territoire droit de recours 20 2 2023
Monsieur Jean-Marc ZULESI Président de la Commission D.D.A.T. à l’assemblée Nationale
ZULESI droit de recours 24 2 2023
Monsieur Jean-François LONGEOT, Président de la Commission D.D.A.T. au Sénat
LONGEOT droit de recours 24 2 23
notre courrier du 4 novembre 2020 à Monsieur Jean Castex premier ministre
JEAN CASTEX DROIT DE RECOURS 4 11 2020
décision du Conseil d’Etat du 9 novembre 2022
13 ans que la Directive Européenne Services 2006-123 du 12 décembre 2006, applicable le 28 décembre 2009, prévoit que les états membres de l’Union Européenne mettent en place des services de contrôles des informations fournies par les demandeurs de projets commerciaux.
13 ans que la France refuse de mettre en place les contrôles des constructions réalisées pour dénoncer les délits de constructions irrégulières devant les procureurs, constructions sans autorisation préalable d’exploitation commerciale.
13 ans que la France ne veille plus au développement équilibré de toutes les formes de commerce (article L 750-1-1 du Code de Commerce)
NOS INTERVENTIONS POUR LUTTER CONTRE LES FRAUDES
ET DÉLITS DE CONSTRUCTIONS IRRÉGULIÈRES,
ORDONNER LES SANCTIONS PÉNALES (art 34 Constitution)
Intervention du Député Nicolas MEIZONNET question écrite N° 4560 du 10 janvier 2023
Président de la République : Emmanuel MACRON, Fraudes constructions irrégulières 27 10 2022
au Sénat :
Gérard LARCHER, Président du Sénat 27 10 2022
Jean-Noel BUFFET, Commission des Lois 27 10 2022
Claude RAYNAL, commission des Finances 27 10 22
Jean-François LONGEOT, commission aménagement du Territoire 2910 22
Sophie PRIMAS, Commission Affaires Economique 27 10 2022
Catherine DEROCHE, Commission des Affaires Sociales 27 10 2022
à l’Assemblée Nationale :
Yaël BRAUN-PIVET, Présidente Assemble Nationale 27 10 2022
Sacha HOULIE, commisson des Lois 27 10 2022
Eric COQUEREL , commission des Finances 27 10 2022
Jean-Marc ZULESI, Développement Durable et Aménagement du Territoire, le 29 10 2022
Guillaume KASBARIAN, commission Affaires Economiques 27 10 2022
Fadila KHATTABI, commission Affaires Sociales 27 10 2022
IL N’Y A PAS DE LOI, PAS DE REGLE SANS SANCTION
ARTICLE 34
DE LA
CONSTITUTION
DÉLIT DE
CONSTRUCTION
IRREGULIERE
INFRACTIONS
POURQUOI
LES SANCTIONS
PÉNALES
ONT DISPARU
EN 2008 ?
CONCURRENCE DÉLOYALE AVEC LE CONCOURS DE TOUS LES GOUVERNEMENTS, DES LÉGISLATEURS, ÉLUS LOCAUX
ET DE L’ADMINISTRATION
Article 72 de la Constitution : ou est passé le Contrôle de légalité du Préfet ?
EN 49 ANS, SANS DROIT DE RECOURS, LA FRANCE A TUÉ
ET RUINÉ DES CENTAINES DE MILLIERS DE COMMERÇANTS-ARTISANS,
DE PAYSANS ET DE PETITS INDUSTRIELS (voir sans droit de recours)
corruption
complaisance
scandale à répétition
et en promos :
les commerçants-artisans
sacrifiés
2 CIRCULAIRES SCÉLÉRATES DES GOUVERNEMENTS
Afin d’éviter à LA GRANDE DISTRIBUTION un passage devant la Commission Départementale d’Aménagement commercial, les gouvernements successifs ont édité deux circulaires scélérates :
1981 – permettant aux hypermarchés alimentaires de s’implanter à la place des magasins de meubles sans autorisation.
2008 – permettant des extensions de 1000 m² à tous les établissements déjà ouverts, sans autorisation
ce sont des millions de m² de surfaces illicites qui ont été réalisés avec la complaisance des gouvernements aux détriments des commerçants-artisans, de leurs associations et des centres-villes, du tourisme urbain, permettant ainsi l’enrichissement des fraudeurs et leurs abus de position dominante.
ARTICLE 34 DE LA CONSTITUTION
La loi fixe les règles concernant – la détermination des crimes et délits
ainsi que les peines qui leur sont applicables.
Sauf que, 15 ans plus tard, avec la loi 2008-776 du 4 août 2008, en violation de l’article 34 de la Constitution, la loi ne fixe plus les peines de cette concurrence déloyale, comme celles qui avait été prévues après la loi 93-122 du 29 janvier 1993 concernant la prévention de la corruption, la transparence de la vie économique et des procédures publiques AMENDES INFRACTIONS DE 5èME classe, par jour et par mètre carré suite aux nombreux scandales.
il n’existe plus
de contrôle et
les lois ne sont pas
appliquées
plus de peine
contre
la concurrence
déloyale
SOUTENEZ LA FÉDÉRATION EN TOUTE FRANCHISE
LA SEULE QUI DÉNONCE CETTE CONCURRENCE DÉLOYALE
ET CE TERRORISME ÉCONOMIQUE


N’ATTENDEZ PLUS AVANT QU’IL SOIT TROP TARD